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Bulletin 2 décembre 2019 CONFERENCE HERMAN DE CROO

2 décembre 2019

MOT D'ACCUEIL DU PRESIDENT DOMINIQUE BROUCKE

Quand Paul Harris fonda le premier club Rotary en 1905, il n’avait  certainement pas imaginé l’implication que sa vision allait avoir. La nature apolitique et non confessionnelle du Rotary ouvert à la bienveillance, à la solidarité  devait amener les rotariens au bonheur dans le respect des croyances de chacun.  Paul Harris lui-même disait : « je considère parfois le Rotary comme l’ébauche d’une philosophie de la vie et du travail pour atteindre le bonheur »

Dès 1921, la paix dans le monde était un des axes du Rotary ; ce qui fût confirmé par la convention d’Edimbourg.  Et à l’époque, 8 pays rotariens avaient inscrit « l’aide à l’avancement de la paix » dans leurs statuts

Pendant que la 2ème guerre mondiale fait rage, l’idée de se rassembler autour d’un objectif de paix n’était  pas morte dans les milieux politiques non plus.  Les grandes nations continuaient  de dialoguer . Après plusieurs réunions dont la fameuse conférence de Yalta,  les représentants de 50 pays se sont rencontrés, le 24 octobre 1945,   lors de la conférence de San Francisco afin d’élaborer la Charte des Nations-Unies.

Notons aussi  en 1943, à l’initiative du Rotary, la réunion des  ministres de l’éducation du monde libre qui  recommanderont après la guerre  la création d’une organisation sur  base de la réflexion suivante  «  les guerres prennent naissance dans l’esprit des hommes, c’est dans l’esprit des hommes qu’il faut élever les défenses de la paix »  Les bases de l’Unesco était déposées. 

L’ONU a pour objectif de mobiliser une volonté politique en rassemblant des Etats qui aspirent à la paix, à l’ordre et au respect de la loi ainsi qu’ à la justice sociale.  Lorsque l’on évoque l’ONU, on pense au Conseil de Sécurité, aux casques bleus, mais cela ne représente que 20 % de son travail.  Les autres 80 % se sont des questions économiques , humanitaires, éducatives et sociales .  

Si la guerre froide a éloigné un peu l’ONU et le Rotary,  les relations seront renforcées lors du 80ème anniversaire du Rotary devant les chefs d’Etats aux Nations Unies lorsque le président Carlos Canseco présente l’objectif du Rotary de faire vacciner 80 % de la population contre la polio.

Le point  de convergence pour trouver des solutions pratiques aux problèmes contemporains et pour se rassembler autour des principes universels et civiques, nous le trouvons dans ce que l’on appelle le Pacte Mondial de l’ONU signé en 2010.  C’est-à-dire, cet acte volontaire d’entreprises et d’associations qui s’engagent dans leur sphère d’influence à soutenir les droits de l’homme, le droit à l’éducation, le droit au travail, le droit à l’eau potable, à un environnement sain qui assure la protection des femmes et des enfants et qui lutte contre la corruption. 

En 2020, soit 75 ans après cette fameuse conférence de San Francisco,  193 états confirmeront leur engagement  d’assurer la paix et la sécurité internationale.  75  c’est  aussi presque autant d’opérations de maintien de la paix.   

Alors ce soir, cher Amis ,  prenons le temps. 

Le temps d’évoquer ces inconnus des Nations-Unies, élément discret de paix et de dialogue.  Cette paix à laquelle nous aspirons pour nous et nos enfants.  Nos Enfants qui devront faire  face aux défis climatiques et de civilisation qui mettent en danger cette paix bien fragile. 

Pour aussi vous parler du  rôle de la diplomatie dans cette préservation de la paix, nous accueillons aujourd’hui un conférencier avec une expérience  exceptionnelle.   Il m’est impossible de résumer sa biographie, tant elle est riche et longue.   Lui-même a épuisé 51 stylos pour l’écrire. Alors  je vous recommande de lire la magnifique autobiographie  de 536 pages « Enraciné dans la vie » que notre conférencier dédicacera à l’issue de la conférence. 

Passionné de sport équestre, après des études de droit à Mons  vous avez mené votre carrière politique avec la fougue d’un pur-sang.  Rotarien depuis 1965, Paul Harris Fellow, votre parcours politique commence en 1968.   Tour à tour député, sénateur, 6 portefeuilles ministériels, Ministre d’Etat , Président  Honoraire de la Chambre , député et bourgmestre, vous êtes Professeur émérite à la Ku Leuven et vous êtes  la mémoire vivante de l’activité parlementaire en Belgique.  

Vous avez visité de nombreux pays occidentaux mais aussi africains, musulmans.  Vous étiez le trait d’union avec les Etats-Unis pendant la guerre d’Irak.

Monsieur De Croo, le fidèle cavalier que  vous êtes, est  resté en selle en tant que représentant du peuple et sénateur  dans le monde politique pendant  51 années  et 4 mois …un record !

Vous êtes aussi le seul à participer à la complète fédéralisation de la Belgique, de la 1ère à la 6ème réforme de l’Etat. Cette diplomatie vous l’avez emportée aussi au niveau international.  Vous avez pris la direction de 27 missions parlementaires dans 31 pays et vous vous êtes rendus plus de 30 fois au Congo.

Vous recevez plus de 3000 invitations par an et quand je vous ai invité  à Lessines, vous avez dit immédiatement oui… votre club est un précurseur. 

 

LA CONFERENCE

Herman DE CROO se dit heureux de prendre la parole dans le club de Lessines qui est effectivement un précurseur car c'est le premier club mixte de la région wallonne . Il a choisi  également de tenir ses réunions dans le site admirable de l’Hopital Notre Dame à la Rose dont la restauration doit beaucoup à Rudy DEMOTTE, qui après avoir été secrétaire du CPAS de Lessines,  a eu  depuis une belle carrière politique et qui, comme lui a vécu à Brakel.

COMMISSION SUR LES FONDS MARINS

Son premier contact avec l’ONU date de 1968. Le Ministre des affaires étrangères de l’époque a proposé à de jeunes parlementaires d’effectuer un stage de trois semaines aux Nations Unies. Herman DE CROO s’est porté volontaire et a eu ainsi l’occasion de participer aux travaux d’une commission sur les fonds marins. Loin d’être anodin, ce sujet soulevait des enjeux considérables.

Le droit de la mer est largement d’origine coutumière. Il constitue l’une des branches les plus anciennes du droit international public. Le principe de la liberté des mers fut posé pour la première fois par Grotius au XVIIe siècle. En dehors des eaux territoriales, les fonds, comme toute la haute mer, appartiennent à tout le monde.

Or Moscou  défendait une thèse inverse selon laquelle les états disposaient, en proportion de leur territoire, d’une partie équivalente du sous-sol marin. (La Russie est le pays le plus vaste du monde !)

Non seulement le sous-sol marin recèle des matières premières tels que le pétrole et le manganèse mais aussi sur un plan stratégique les Etats Unis disposaient à cette époque d’un quasi monopole de la pose des câbles en haute mer, ce qui lui permettait de contrôler l’activité des sous-marins et les communications en pleine guerre froide.

Une dizaine d’années plus tard, les travaux de cette commission conduiront à l’adoption d’un traité international (La convention de Montego Bay (1982) qui précise qu’au-delà des eaux territoriales, les fonds marins restent un droit universel.

LA BELGIQUE AU CONSEIL DE SECURITE DE l‘ONU

Alors que la Société des Nations n'était qu'un espace de dialogue où les diplomates pouvaient se rencontrer pour établir des consensus, l'ONU, aujourd’hui composé de 193 pays,  peut, avec le Conseil de sécurité, prendre des décisions concrètes. Celles-ci peuvent déboucher, par exemple, sur l'autorisation d'employer une force armée – les « Casques bleus » – pour maintenir ou rétablir la paix.

Selon l'article 1 de sa Charte, l'ONU s'efforce d'être un lieu où se construit un avenir meilleur pour tous les êtres humains, et ce à travers quatre objectifs :

  • Maintenir la paix et la sécurité dans le monde ;
  • Développer les relations amicales entre les nations ;
  • Réaliser la coopération internationale sur tous les sujets où elle peut être utile et en encourageant le respect des droits de l'homme ;
  • Être un centre où s'harmonisent les efforts des nations dans des objectifs communs.

La Belgique fait partie des membres non permanents du Conseil de sécurité de l'ONU à partir du 1er janvier 2019, pour un mandat de deux ans. Le pays se trouvera pour la sixième fois de son histoire au cœur des Nations unies, dans l'organe responsable du maintien de la paix et de la sécurité internationale.

La Belgique avait reçu le soutien de 181 des 188 votes exprimés par les États membres de l'organisation réunis au sein de l'Assemblée générale, bien plus que les deux tiers des votes exigés. L'Allemagne, l'Afrique du Sud, la République dominicaine et l'Indonésie font également partie des nouveaux membres non permanents.

Ces pays siégeront avec les cinq membres permanents, dotés d'un droit de veto: les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Uni.

Bruxelles sera en charge de dossiers clés tels que la protection des enfants dans les conflits armés, l’accès humanitaire en Syrie, l’application des sanctions en Somalie ou encore sur le nucléaire iranien.

La Belgique a toujours joué un rôle important à l’ONU. En 1946, Paul-Henri Spaak avait été élu président de la première Assemblée Générale des Nations unies à Londres, tandis que la Belgique devenait la première petite puissance à siéger au Conseil de sécurité des Nations unies.

L’ONU ce n’est pas que les casques bleus, c’est aussi La Cour Internationale de Justice, la Cour pénale internationale, la FAO, l’Unesco et la COP 25...

La Cour internationale de Justice , siégeant à La Haye (Pays-Bas) dans le palais de la Paix, est établie par l'article 92 de la Charte des Nations unies : « La Cour internationale de Justice constitue l'organe judiciaire principal des Nations unies.». Elle a pour principales fonctions de régler des conflits juridiques soumis par les États et de donner un avis sur des questions juridiques présentées par des organes et agences internationaux agréés par l'Assemblée générale des Nations unies .  

Elle ne doit pas être confondue avec la Cour pénale internationale (CPI; en anglais International Criminal Court ou ICC) qui est une juridiction pénale universelle permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité, de crime d'agression et de crime de guerre. Elle est d'ailleurs la première et seule juridiction pénale internationale permanente, les autres juridictions pénales internationales étant occasionnelles. Le Statut de Rome est le traité international qui a créé la Cour pénale internationale. Il est adopté lors d'une conférence diplomatique réunissant les représentants des États adhérant aux Nations unies, dite Conférence de Rome, en 1988.

La FAO L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Food and Agriculture Organization of the United Nations) est une organisation spécialisée du système des Nations unies, créée en 1945 à Québec.

Son objectif suprême affiché est « Aider à construire un monde libéré de la faim », sa devise, inscrite sur son logotype, est « Fiat panis », expression latine – sur le modèle de l'expression biblique Fiat lux – signifiant « qu'il y ait du pain ».

UNESCO

L'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (en anglais United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization, UNESCO3, également écrit Unesco) est une institution spécialisée de l'Organisation des Nations unies (ONU) créée le 16 novembre 1945 à la suite des dégâts et des massacres de la Seconde Guerre mondiale.

Elle a pour objectif selon son acte constitutif de « contribuer au maintien de la paix et de la sécurité en resserrant, par l’éducation, la science et la culture, la collaboration entre nations, afin d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’Homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, que la Charte des Nations unies reconnaît à tous les peuples ».

Tout comme la ducasse d’Ath , le carnaval de Binche et d’Alost avaient été consacrés patrimoine  immatériel de l’UNESCO

Le bourgmestre NVA d’Alost vient de retirer le carnaval alostois de la liste du patrimoine immatériel de l’humanité de l’Unesco, car la ville s’attend au retrait de cette reconnaissance mi-décembre, à cause d’un char accusé de véhiculer des clichés antisémites.

En effet, l’année dernière, un char transportait des personnages juifs caricaturaux défendant un coffre que l’on supposait rempli d’argent. Malgré plusieurs rencontres entre les parties concernées et une visite du bourgmestre d’Alost à l’Unesco, à Paris, aucun compromis n’a été trouvé.

COP 25

La Conférence de Madrid de 2019 sur les changements climatiques est une conférence internationale organisée par les Nations unies qui se déroule du 2 au 13 décembre 2019 à Madrid, en Espagne. Elle est la 25e Conférence des parties (d'où son acronyme : COP 25), qui réunit les pays signataires de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Chaque année, les participants à ces conférences (196 pays, l'Union européenne, ainsi que des organisations environnementales) se réunissent pour décider des mesures à mettre en place dans le but de limiter le réchauffement climatique. Ce sont des engagements plus contraignants et ambitieux en matière de protection de la planète qui devraient être pris.

L’AVENIR DU CONTINENT AFRICAIN

Notre conférencier termine son brillant exposé par une autre réalité que l’on ne peut occulter et qui doit nous porter à réfléchir, c’est l’avenir du continent africain dont il est un grand connaisseur.

La fécondité en Afrique est élevée : 5 enfants par femme en moyenne (plus de 7 au Niger et 8 au Nigéria et au Congo). En 2015, la population mondiale comptait 7,349 milliards d’habitants dont 1,2 milliard d’africains (16 % population mondiale) En 2050, on prévoit que l’Afrique comptera 2,478 milliards d’individus. Les seuls pays d’Afrique sub-saharienne concentreront la plus grande population au monde de moins de 30 ans soit 70% de cette catégorie d’âge à l’échelle de la planète.

Du fait de cette croissance démographique et du manque de moyens de ces pays, de nombreux pays africains se dirigent à brève échéance vers une crise d’une ampleur dramatique, si l’on sait qu’aujourd’hui déjà, certains pays sont incapables d’éduquer , de nourrir et de soigner toutes leurs populations. Des millions d’africains risquent de quitter leur continent pour venir en Europe ou ailleurs, comme réfugiés ou migrants économiques ou climatiques. Un autre phénomène aggrave la situation. L’insécurité, les troubles et le terrorisme qui frappent les pays subsahariens entraînent une migration sur le continent africain même. Les pays africains accueillent 4 à 8 fois plus de migrants que les pays de l’OCDE. En 40 ans, l’Afrique va voir sa population en âge de travailler quintupler alors que dans le même temps celle de l’Europe va diminuer d’un quart. Une situation qui va provoquer un appel à quitter l’Afrique et à tenter de rejoindre le Vieux continent sans pour autant qu’il y ait plus d’emploi en Europe à cause de la robotisation, de l’économie numérique et  l’intelligence artificielle qui réduisent numériquement les besoins en collaborateurs.

Cette pression démographique ne pourra diminuer que par la création de croissance, l’expansion et le partage des richesses. Nous n’avons d’autre alternative que de contribuer au développement de ces pays , c’est l’assurance civilisationnelle que nous devons souscrire soit par générosité soit par crainte de l’avenir car sans cette approche, aucun pays européen ne sera en mesure de résister aux conséquences politiques, économiques, sociales et même idéologiques de cet afflux migratoire.

Si on ne donne pas de l’espoir aux jeunes Africains grâce à des systèmes éducatifs et de santé performants et surtout du travail , ce continent part à la dérive. En même temps nous avons besoin d’une certaine immigration car ces personnes seront aussi des contributeurs au développement de leur pays grâce à leurs transferts financiers et peuvent ainsi nous aider à atténuer notre manque de main d’œuvre.     

Nous vous recommandons la lecture de l’ouvrage HERMAN DE CROO, enraciné dans la vie,  autobiographie. Édition Racine, Uitgeverij Lannoo, Tielt, 2018 dont s’inspire le présent résumé.  

Le Président Dominique BROUCKE remercie notre conférencier qui, avec érudition intellectuelle et humour, a partagé son analyse sur un sujet d’actualité et lui remet le livre de l’HNDR

Dominique remercie également le CCRM et les membres du RCL pour l’organisation de cette conférence , et également les élèves de l’Athénée Royal René Magritte ainsi que leur professeur Madame Wilfart pour l’intérêt porté à la conférence et en particulier à la paix dans le monde

A l'issue de la conférence , le chef du protocole nous invite à passer à table non sans avoir célébré la langue française en l'honneur de notre invité de marque , premier de classe au collège des Jésuites  Saint Stanislas à Mons et grande distinction en droit à l'Université Libre de Bruxelles. 

Une très belle langue le Français !!!!

Dommage que beaucoup de ces verbes soient tombés dans l’oubli !
Le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache, l'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage.
Les moineaux piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse.
La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse.
Et le chat comme le tigre miaule, l'éléphant barrit, l'âne brait, mais le cerf rait.
Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille.
La biche brame quand le loup hurle.

Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ?

Que si le canard nasille, les canards nasillardent,
Que le bouc ou la chèvre chevrote,
Que le hibou hulule mais que la chouette, elle, chuinte,
Que le paon braille, que l'aigle trompète.

Sais-tu ?
Que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule, que la perdrix cacabe, que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit.

Tu sais tout cela ? Bien.
Mais sais-tu ?
Que l'alouette grisolle,
Tu ne le savais pas. Et, peut-être, ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse.

C'est excusable !
Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère
Et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère !
Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule
Et je ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue.
Qu'importe ! Mais c'est joli : la huppe pupule !
Et encore sais-tu ?
Que la souris, la petite souris grise : devine ?
La petite souris grise chicote ! Oui !

Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas savoir, que le geai cajole !"

Faites suivre sinon nous oublierons cette belle langue dont, finalement, nous ne savons pas grand-chose !!!...

MENU venant de Flandre nouveau petit clin d'oeil  amical à notre conférencier.

Croquettes aux crevettes /  Waterzooi sauce au persil tubereux / Tarte à maton revisitée.    

INTERVENTION DES MEMBRES

Le président nous confirme qu'il participera avec son épouse Sylvie et  Daniel CAUCHIE aux journées de vaccination en Inde en janvier 2020.

Le projet de plantation d'arbres le long de la via tenera (chemin de saint Jacques de compostelle le long de la dendre) suit son cours avec l'implication de Julien et de la troupe scoute d'Hermeline.

Le dossier  pour la plaine de jeux est envoyé à Evanston avec avis favorable de notre district (intervention du club 7.000 euros et de la RF 3.000 euros) 

Stéphane nous parle du concert du 20 décembre 2019 et propose à nos nombreux invités de venir nous rejoindre 

https://lessines.rotary1620.org/fr/activities/agenda/27233/concert-de-la-musique-royale-de-la-marine-belge

 

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