- Les vraies conquêtes, celles qui ne donnent aucun regret, sont celles que l’on fait sur l’ignorance. Si je cite ces mots, ce n’est pas simplement parce qu’ils furent écrits par napoléon Bonaparte, mais parce qu’ils décrivent en quelque sorte ce qui nous réunit sous cette coupole. La lutte contre l’ignorance, l’amour du savoir et de l’histoire, et la volonté de ne rien céder à ceux qui entendent effacer le passé au motif qu’il ne correspond pas à l’idée qu’ils se font du présent ». Emmanuel MACRON Président de la République française 5/5/2021
Grâce à NOTELE, suivez les traces de Napoléon en Wallonie picarde.
https://www.notele.be/it71-media96219-samediplus-sur-les-traces-de-napoleon-en-wallonie-picarde.html
Des abeilles du sacre à la colonne Vendôme à Paris en passant par les plus beaux tapis de style empire, Tournai fut véritablement un pôle artistique au début du XIXème siècle.
Saviez-vous que son premier valet et confident Constant WAIRY était un wallon picard originaire de Péruwelz?
Louis-Constant Wairy, surnommé Constant, né à Péruwelz le 2 décembre 1778 et mort à Breteuil le 27 juin 1845, est un premier valet de chambre de Napoléon en 1806 et 1814. Il écrit ses mémoires, publiées sous le titre Mémoires de Constant, premier valet de chambre de l'empereur, où il relate la vie privée de Napoléon, sa famille et sa cour.
Saviez vous aussi que Napoléon jeta Mgr HIRN Evêque de Tournai en prison dans le sombre donjon de Vincennes?
Originaire de Strasbourg, Fr.-J. Hirn fut ordonné prêtre en 1774 et fut tout d'abord au service du prince-électeur de Mayence. En 1802, il était nommé évêque de Tournai. Pasteur zélé, il entretint, au début de sa carrière épiscopale, de bons rapports avec Napoléon et l'administration impériale. Toutefois, avec le temps, il prit de plus en plus conscience de l'autoritarisme de l'empereur dans le domaine religieux et finit par apparaître comme un des principaux opposants à la politique du souverain, en particulier lors du concile national de 1811. Tant et si bien que dans la nuit du 11 au 12 juillet de cette année, il était emprisonné à Vincennes, forcé de présenter sa démission, puis placé en résidence surveillée à Gien (Loiret). Rétabli dans ses droits lors de la Restauration, il s'opposa, avec les autres évêques belges, à la politique religieuse de Guillaume Ier des Pays-Bas en Belgique